Infos diverses (et d’été)
CR des groupes opérationnels du 1er Juillet
Infos diverses :
-Kermarron : Jean Marie Kerisit, l’animateur de Kermarron a appelé. Il est en congé fin Juillet. Le « raid » initialement prévu les 16 et 17 Juillet tombe à l’eau MAIS les habitants prennent leurs quartiers d’été sur une plage à 20mn de Douarnenez du 11 au 15 Août et une délégation bas-normande est officiellement invitée à les y rejoindre. Joindre l’agréable à l’agréable, c’est peut être un bon plan…
-SOPI : Comme prévu, une rencontre a eu lieu avec Mme Bouvet, directrice-adjointe de la circo Caen-Est. Du coup, la « question des pochettes » se transforme en un projet à court et moyen terme.
-Aujourd’hui, les « anciennes de SOPI » se trouvent isolées et aimeraient avoir l’occasion de se revoir. Trois d’entre elles avaient un projet autour de la couture.
Certaines on déjà établi des liens avec l’association « Mine de rien » à Colombelles.
-Demain, on « commande » 700 pochettes en tissu pour les journées de Novembre.
On, c’est nous, mais le financeur (à démarcher) pourrait être le Crédit coopératif (ou une autre banque). On passe cette commande au Foyer Léo Lagrange qui serait dans ce cas l’interlocuteur du financeur. Les couturières sont les « anciennes » de Sopi ; celles qui sont aujourd’hui dans le dispositif mais qui vont en sortir et des membres de Mines de rien .
-Après-demain : Si c’est le choix des 3 femmes qui en avaient manifesté l’intention, la circo peut retravailler leur projet de création d’une activité autour de la couture en se faisant aidée par les dispositifs mis en place par le Conseil Régional pour la création d’activité (micro entreprise, etc…).
Compte-rendu des groupes opérationnels du 1ier Juillet
Groupe animation des ateliers
Deux points ont été traités :
-Un inventaire au 1ier Juillet des engagements « sûrs » et des ressources à prospecter
-Une définition plus précise du contenu de ces ateliers
Les engagements sûrs :
-Une offre autour de la technique du théâtre-forum
• Association Macédoine
• L’ECC de Rouen et le SADER
-Une offre à partir de jeux
• Le Psychotron
-Une offre de type « café citoyen »
• ECC de Caen
• ATD Quart Monde 14 « croisement des savoirs »
• Commission Dire et Réagir Ensemble
-Une offre à partir de la technique du « débat mouvant »
• « Est-ce qu’on peut ? » Proposition du CAP à Cherbourg
-Une offre de type émission de radio
• Association Mines de rien et TSF
-Une offre à partir d’une technique artistique
• Yohann (slam)
• Lewis (animateur au foyer Léo Lagrange)
• Georges, artiste à l’Elabo : sculpture et performance participative
• Xurxo (Elabo) : Peinture participative
• Kloé : Assemblages-collage
• « La caravane céleste » : Théâtre des objets.
-Une offre de type écrivain public
(L’atelier aboutit à l’écriture d’une lettre, d’une déclaration ou d’un manifeste par la plume de l’écrivain public en lien et sous le contrôle des participants)
• Proposition de MT Savigny
-Une offre de type photos-langage
• Mathieu travaille cela avec 2 personnes à Rennes qui ont travaillé sur des supports photos-audio autour d’un restau social.
• Guillaume Friry
Démarches restant à effectuer :
-Il reste à trouver des offres supplémentaires
Eric va rencontrer les artistes du collectif Bazarnaüm (Caen)
Renaud voit les ressources éventuellement repérables à partir du site « Brin de causette » (Nantes).
-Doivent être précisées les possibilités à partir de premiers contacts.
• Association les Jambons (théâtre forum à Rennes)
• Un contact va être pris à Cherbourg par Renaud avec un groupe qui travaille également avec cette technique
• Une demande va être faite aux collègues de Kermarron : dans le film « Rêves d’habitants », on voit qu’ils ont travaillé sur la question de la violence des jeunes à partir d’un jeu .
• Un contact va être pris avec Raphael Yem (journaliste et coordonnateur du Journal Fumigène)
• Une rencontre est prévue en Juillet avec le Collectif « l’âge de la tortue » à Rennes
Précisions quant-à la commande faite aux animateurs et place des ateliers
Lors des premières rencontres les artistes nous ont posé des « questions indiscrètes » qui nous amènent à être plus clairs sur ce que nous attendons des ateliers. Doivent-ils « juste » avoir une intervention un peu décalée pour rompre la glace et laisser place ensuite à une confrontation d’expériences ? Si ce qu’on veut interroger c’est ce qui se joue dans des actions co-construites, comment aborder cela en très peu de temps ?
Quel est l’objectif finalement de ces ateliers ?
Toutes ces questions nous ont amenés à redéfinir les objectifs des différents moments des journées de Novembre
Pour poser le cadre, c’est à dire les enjeux des logiques participatives et/ou de co-construction :
Les moyens :
1-L’accueil en plénière avec Didier Charuel et Catherine Etienne avec Philippe Guérin (Advocacy) et J Marie Gourvil, directeur des études à l’IRTS
2-Les ateliers :
Le thème du coup ne serait pas lié à des initiatives particulières mais le même dans tous les ateliers : la co-construction
Dans ce cadre, l’objectif est de confronter nos représentations respectives sur les enjeux de ces démarches
• Ou par la médiation d’une création collective accompagnée par les artistes avec en fin de séance un effet feed back des 2 « comparses »
• Ou s’il s’agit d’une animation de type café citoyen par un travail sur les représentations autour de 3 mots : bénéficiaires, intervenant social, acteur
Dans ce cas il n’y a pas de pré-inscription en fonction du type d’initiative mais une inscription sur place à l’accueil.
Pour que les acteurs d’initiatives co-construites puissent témoigner de leur expérience
Les moyens :
1-Le village des initiatives citoyennes
1-Les ateliers du Vendredi matin autour des témoignages vidéo ou de productions diverses
Pour mettre en débat les différents enjeux des logiques participatives :
Les moyens :
1-Le débat du Jeudi AM :
« Pour un « Mieux vivre ensemble » quelles formes de citoyenneté ? »
2-Le théâtre-forum du Vendredi AM
3-La table-ronde :3Pour mieux agir ensemble :Que faire ?
Groupe recueil des contributions
Des contributions commencent à remonter, de Champagne Ardennes notamment. Le groupe s’est séparé le travail pour contacter chacun des porteurs.
Deux problèmes à ce propos :
-C’est un énorme travail beaucoup porté par les usagers et les étudiants qui se sentent un peu seuls sur ce coup là.
-Dans la communication, notamment avec des collectifs d’habitants dans les quartiers, la question du coût est problématique. En caricaturant, ils doivent payer pour être les intervenants. C’est à rediscuter. Le groupe s’interroge sur ce que les différents réseaux ont entrepris comme démarches pour trouver des financements.
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